Microforêts urbaines : que penser de la "méthode Miyawaki" ?

Le long du périphérique parisien, en avril 2018 à la Porte de Montreuil, l’association Boomforest met en œuvre des plantations de type Miyawaki. CC BY-NC-ND.jpg

via The Conversation

Face au changement climatique et à l’érosion de la biodiversité, la reforestation de vastes espaces apparaît comme une démarche vertueuse, fortement encouragée au niveau international ; reforester permet de stocker du carbone, de restaurer des habitats favorables à la biodiversité forestière et, en milieu urbain, de réduire les canicules estivales et d’apporter de nombreux autres services dits « écosystémiques » aux populations citadines.

Parmi les différentes techniques de boisement et de restauration de forêts, la méthode développée par le botaniste et phytosociologue japonais Akira Miyawaki suscite un réel engouement auprès de nombreuses associations citoyennes et l’intérêt des municipalités.

Dans un article récemment publié sur le média The Conversation, des scientifiques de l’Inrae affichent leur scepticisme, estimant que ces « microforêts Miyawaki » ne sont pas vraiment des forêts. Qu’en est-il réellement ?...

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